L'arrivée à New York

Publié le 10 Mars 2016

Skyline (vue de l'Air-train)

Vers 16 heures, alors que le soleil se couche, les lumières affleurent sur JFK, nimbant de rose et de violet les routes qui mènent toutes vers New York. Nous roulons en train express. L’horizon évoque une ville de science-fiction, avec la skyline qui se détache dans le lointain, et les grands parvis vides qui se découpent, tels des créneaux. Une ville qui paraît sans hommes… Dans le métro, les appareils à composter ressemblent à des machines de casino, avec leurs disques clignotants, et leurs vaines sonneries tintinnabulantes. C'est dans une ville vide, sans hommes, que nous sommes accueillis. Là encore, personne ne semble se précipiter pour rentrer du travail, ou pour aller faire des courses – à une heure pourtant avancée de la journée. C'est comme si Manhattan avait été déserté, et ses artères vidées de leur substance...

Rédigé par le boldu - blog littéraire

Publié dans #Journal

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